Marais salants
Pour la deuxième année consécutive, j’ai passé une semaine à l’île de Ré. J’aime beaucoup les îles en général, et celle-ci ne fait pas exception.
Nous logeons aux Portes-en-Ré, à l’extrémité ouest de l’île, près des marais salants. Avant de partir, j’avais écouté un épisode du podcast Sur le grill d’Ecotable sur le sel avec la coopérative des sauniers de l’île de Ré. Je vous recommande cet épisode hyper intéressant si vous pensez que tous les sels se valent, que ce soit d’un point de vue nutritionnel ou environnemental.
On oublie le sel blanc de table classique du supermarché qui a été raffiné (transformé) et qui contient des antiagglomérants.
On oublie aussi le sel rose de l’Himalaya qui vient de loin.
On choisit des sels récoltés à la main des marais salants français, comme ceux de Guérande, de l’île de Ré ou de Noirmoutier.
Pour réduire sa consommation de sel, on se tourne vers du gomasio (mélange de sésame et de sel) ou de l’Herbamare. On peut aussi utiliser des épices et de l’ail en semoule comme exhausteurs de goût.
Attention au sel caché dans les produits industriels pour donner du goût
Si vous aimez cuisiner avec de la sauce soja, préférez la version « 50% moins de sel ».
Je vous laisse avec la chanson "Marais Salants" du groupe de musique de mon conjoint, Canari.